27.6.10

Bat Girl

1967

Résumé
A la librairie de Gotham City, Barbara Gordon aide Bruce Wayne à trouver un livre sur les papillons afin de prouver un point particulier à un ami millionnaire. Lorsque Bruce et son juvénile acolyte, Dick Grayson, sortent de la boutique, ils aperçoivent le vilain Killer Moth et trois de ses hommes de main. Suspectant un quelconque mauvais coup, Bruce et Dick décident de se changer en leurs alter-egos, Batman et Robin.

Pendant que les Justiciers mettent leurs costumes, les quatre criminels mettent le millionnaire au tapis et enferment Barbara dans un placard. Mais alors que le duo justicier tente de capturer les bandits, ils sont sont piégés dans un des cocons de Killer Moth… Est-ce la fin des héros de Gotham City? Et pourquoi une jolie libraire a-t-elle donc un masque et une cape dans son placard?

Fiche Technique
Réalisé par

Scénaristes

Interpètes
Yvonne Craig
Adam West
Burt Ward
Neil Hamilton
Tim Herbert

Produit par


Musique originale
   
Image

Montage

Durée
7' 24"

Origine
Usa, 1967

Download
L'épisode complet en anglais

Commentaires
Pilote d'une série qui ne vit pas le jour. Adam West et Burt Ward participent à ce mini film.

Cathy Lee Crosby

Cathy Lee Crosby est une actrice et productrice américaine née le 2 décembre 1944 à Los Angeles, Californie (États-Unis).

comme actrice
    * 1973 : Le Flic ricanant (The Laughing Policeman) : Kay Butler
    * 1974 : Wonder Woman (TV) : Wonder Woman / Diana Prince
    * 1976 : Trackdown : Lynn Strong
    * 1978 : Keefer (TV) : Angel
    * 1978 : La Prof joue et gagne (Coach) : Randy Rawlings
    * 1979 : The Dark : Zoe Owens
    * 1980 : Roughnecks (TV) : Tracy Carter
    * 1982 : La Troisième guerre mondiale (World War III) (TV) : Maj. Kate Breckenridge
    * 1986 : L'Impossible retour (Intimate Strangers) (TV) : Shauna
    * 1986 : Charlie Barnett's Terms of Enrollment (vidéo) : Greatest Hits MC
    * 1994 : Nord et sud III ("Heaven & Hell: North & South, Book III") (feuilleton TV) : Judith Main
    * 1994 : Untamed Love (TV) : Margaret
    * 1997 : When the Cradle Falls (TV) : Joan Hollins
    * 1997 : Le Trésor perdu des conquistadors (Lost Treasure of Dos Santos) (TV) : Margaux
    * 1998 : The Real Howard Spitz : Librarian
    * 1999 : Le Tourbillon des souvenirs (A Memory in My Heart) (TV) : Lynn Wyman
    * 1999 : Le Train de l'enfer (Final Run) (TV) : Sandy Holmestead
    * 2001 : Péril du feu (Ablaze) : Elizabeth Sherman
    * 2001 : Sons of Mistletoe (TV) : Mary
    * 2002 : Souvenirs d'amour (Dancing at the Harvest Moon) (TV)

comme productrice

    * 1994 : Untamed Love (TV)

Wonder Woman

Vincent McEveety
 1974


Résumé
Diana Prince n'est pas une femme ordinaire: elle vient d'une île peuplée d'amazones, des femmes aux capacités physiques hors-normes. Diana est la meilleure d'entre-elles, et fait régner la justice en Amérique sous l'identité de Wonder Woman...







Fiche Technique
Réalisé par
Vincent McEveety

Scénaristes
John D.F. Black
William M. Marston         characters (uncredited)

Interpètes
    Cathy Lee Crosby    ...     Wonder Woman / Diana Prince
    Kaz Garas    ...     Steve Trevor
    Andrew Prine    ...     George Calvin
    Ricardo Montalban    ...     Abner Smith
    Charlene Holt    ...     Hippolyte
    Anitra Ford    ...     Ahnjayla
    Richard X. Slattery    ...     Colonel Henkins
    Jordan Rhodes    ...     Bob
    Robert Porter    ...     Joe
    Mario Roccuzzo    ...     Serveur
    Beverly Gill    ...     Dia
    Ronald Long    ...     Big Spender
    Lomax Study    ...     Desk Clerk
    Donna Garrett    ...     Cass
    Roberta Brehm    ...     Zoe (comme Roberta Brahm)
    Thom Carney    ...     Fred
    Robert Kersch    ...     Homme
    Alain Patrick    ...     Bellman
    George Dega    ...     Capitaine
    Ed McCready    ...     Wesley
    Sandy Gaviola    ...     Ting
    Steve Mitchell    ...     Voyou

Produit par
John D.F. Black
John G. Stephens

Musique originale
Artie Butler
Image
Joseph F. Biroc (comme Joe Biroc)

Montage
Gene Ruggiero

Origine
Usa, 1974


Download
Le film en version anglaise (version DVD 4.5 g) - Torrent

Commentaires

Avant Linda Carter Wonder Woman était blonde......

En effet, un année avant la série avec Linda Carter, un téléfilm (un pilote, en fait) a été réalisé. Ce pilote aurait du parvenir à une série rocambolesque, mais il eut si peu de succès et les critiques furent tels que ce dernier ne fut qu'un one shoot.

Wonder Woman n'était pas (en rapport au comics) la Wonder Woman que l'on connait :  en effet, d'une part elle est blonde et d'autre par le costume n'a, mais alors, vraiment rien à voir avec la tenue sexy de Linda Carter.

Wonder Woman travaille pour le gouvernement des Etats-Unis, voyage par tout le monde, est hébergée dans des hôtels luxueux, dîne dans des restaurants chics et est un experte dans karaté, la moto et surtout posséde (sans doute jalousant Batman) un magnifique ceinture bourrée de gadget (peut-être boit-elle un Martini Dry et cache un Walter PPK dans sa robe).

Les fabuleux décors (?????) sont en carton pâte.

Heureusement, le téléfilm est sauvé (si l'on peut dire) par la plastique irréprochable de Cathy Lee Crosby (comme le montre les photos)

Visuel

25.6.10

Saga Godzilla

En rédigeant la Fiche sur Ishiro HONDA, je me suis rendu compte de la difficulté de mettre dans l'ordre les films traitant de Godzilla.

Dès lors, avant de présenter les films, voici l'ordre chronologique par période de cette saga sans fin.

Série Original (1954-1974):

   1. Godzilla - Godzilla: King of the Monsters
   2. Retour de Godzilla (Le) - Gigantis, The Fire Monster  (a.k.a. "Godzilla Raids Again")
   3. King Kong contre Godzilla - King Kong vs. Godzilla
   4. Godzilla contre Mothra - Godzilla vs. the Thing  (a.k.a. Godzilla vs. Mothra)
   5. Ghidorah - Ghidrah, the Three Headed Monster
   6. Invasion Planète X - Godzilla vs. Monster Zero
   7. Godzilla vs. The Sea Monster
   8. Son of Godzilla
   9. Destroy All Monsters
  10. Godzilla's Revenge
  11. Godzilla vs. the Smog Monster
  12. Godzilla vs. Gigan (a.k.a. "Godzilla on Monster Island")
  13. Godzilla vs. Megalon
  14. Godzilla vs. the Cosmic Monster - (a.k.a. "Godzilla vs. The Bionic Monster", "Godzilla vs. Mechagodzilla")
  15. Terror of Mechagodzilla

"Heisei" Serie (1984-1995):

  16. Godzilla 1985
  17. Godzilla vs. Biollante
  18. Godzilla vs. King Ghiodrah
  19. Godzilla vs. Mothra
      (a.k.a. "Godzilla and Mothra: Battle for Earth")
  20. Godzilla vs. Mechagodzilla (II)
  21. Godzilla vs. Space Godzilla
  22. Godzilla vs. Destroyer

"Alternate Reality" Serie (1999 -2001):

  23. Godzilla 2000
  24. Godzilla vs. Megaguiras
  25. GMK: All Monsters Attack

La Nouvelle Génération Série (2002 - ):

  26. Godzilla vs. Mechagodzilla (III)
  27. Godzilla vs. Mothra vs. Mechagodzilla: Tokyo S.O.S.
  28. Godzilla: Final Wars

Hors Catégorie (et oui je n'aime pas cette version)
  29. Godzilla (Roland Emmerich)

Le Futur
Les studios Warner Bros. et Legendary Pictures s'associent pour faire revenir sur grand écran l'un des monstres les plus célèbres du cinéma.Cette nouvelle version de Godzilla devrait débarquer sur les écrans mondiaux en 2012.

Ishiro Honda

Né le 7 mai 1911 à Tsuruoka, Préfecture de Yamagata, mort le 28 février 1993 à Tokyo

L'avant Godzilla

Honda commença sa carrière à la Toho comme réalisateur de documentaire et de film de guerre, mais il reste pour beaucoup le Maître du Film de Monstre au Japon, c'est en effet grâce à Godzilla qu'il trouva en occident celle ci (désolé mais c'était facile comme "il vit le lit vide et le devint")

L'ére Godzilla

Pendant que Rodan met à sac Moscou, que Godzilla anéantit Tokyo, que New York est en feu et que Venise est submergé par un raz-de-marée, Mothra, Varan, Baguron, Dagora (crachant qui de la glace, qui des rayons lasers) font leur apparition, se battent à coups de paquebots, happent au vol des hélicoptères, écrasent des tanks à coups de pied ou les projettent sur les façades des immeubles. C'est alors que les Martiens (dont la planête vient malencontreusement d'exploser) se mettent en tête d'envahir la terre, et pour arriver à leurs fins, provoquent une douzaine de séismes, immergent deux ou trois continents, se heurtent aux ambitions d'un peuple sous-marins qui se berce lui aussi de rêves conquérants, délèguent sur terre un dragon des galaxies. Mais un sinistre savant fou trahit la charte des nations unies, inocule le cancer à deux cents millions d'individus, pactise avec les Martiens, dégivre l'Himalaya et assèche quelque océan. Les Nations Unies, réunies en permanence, discutent : il faut prendre des mesures énergiques avant qu'il ne soit trop tard. On envoie donc l'armée lutter vaillamment contre les envahisseurs : elle essaie en vain le napalm, le laser et finit par envoyer aux monstres quelques missiles dont la trajectoire est déviée et qui viennent s'écraser sur Londres, Paris et Pékin. La sagesse des hommes vaincra : quand il ne reste que ruines à la surface du globe, que les méchants sont châtiés, les Martiens envoyés sur Jupiter et les monstres au zoo, le conseil des Nations (miraculeusement préservé) n'additionne que deux milliards de morts, constate qu'après tout, cela aurait pu être pire et de se féliciter d'avoir eu l'intelligence de ne rien décider pendant le déroulement des événements.........

Tels est le schémas d'un film d'Honda. (cela aurait quand même plus de classe que la version US de Godzilla, comme scénario, car malheureusement après la tentative de Roland Emmerich, et la vente par la Toho de la franchise godzilla aux américains, que va t'on nous servir comme taube - que d'autant, la mode des remakes nous offres des splendides ratages comme Prom Night, La colline a des Yeux, ou notre fabuleux Freddy et ses griffes,.........)

Grand Maître du Kaiji Eigha, Honda, grâce à la précision de ses mises en scène et à la démence de ses scénario est toujours parvenu à transcender les poncifs du genre et s'il a repris à son compte les mythes de King Kong ou de Frankenstein, c'est dans une vision très presonnelle, les dotant d'une portée très différente et qui fait encore mieux ressortir l'abime qui le sépare de ces braves artisans qui, depuis 40 ans, s'acharnent à refaire King Kong et le "Monde Perdu". Car Honda est un véritable auteur. Son registre et ses thèmes, bien que limités, confinent vite à l'obsession, mais il reste un auteur. Et même si la forme de ses films est typiquement occidental, leur contenu ne peut être envisagé qu'en fonction d'un contexte japonnais.

Cinéaste du cataclysme, tous les moyens sont bons pour représenter la destruction sous toutes ses formes. King Kong n'était pour Schoedsach qu'un pauvre gorille géant qui avait la faiblesse de tomber amoureux : les monstres de Honda, dépouillés de toute sensibilité, sont à l'image du péril qu'ils incarnent, hauts comme des montagnes et n'ont qu'un seul souci : détruire. Héritiers des ancestrales légendes nippones, ils sont aussi à l'image des préoccupations du Japon d'après guerre : eux aussi sont des enfants d'Hiroshima. Monstres des temps perdus, ils sont ressuscités par des expériences nucléaires : monstres artificiels, ils sont des êtres humains à qui l'exposition à des radiations a fait subir de terrifiantes nutations. Les hommes luttent contre eux au moyen de l'atome, mais, mais à moins que les créatures ne s'entre-détruisent, seuls des catastrophes naturelles sauront venir à bout du péril enfanté par l'inconscience des hommes.

Ce qui, d'emblée, surprend chez Honda, c'est l'envahissant attirail mécanique qu'il exhibe : on sent chez le réalisateur une véritable fascination terrible pour la machine (surtout guerrière) : cet enfer technologique est symbolisé par le King Kong robotisé que le Docteur Wo (et pas Who, comme on le voit dans certain articles) déchaine sur Tokyo dans "La revanche de King Kong". Dans ce film, le véritable Kong n'est plus assimilé à l'idée de péril, mais au contraire, il vient défendre l'humanité contre les forces obscures, c'est  dire la mécanisation qu'incarne son double.

Honda prend le parti du Monstre car il représente dans son esprit la victoire de la nature sur la civilisation qui n'a su enfanter que la mort. Le réalisateur dresse le réquisitoire contre son époque et son humanisme un peu prédicant (comme chez Jack Arnold - notamment dans le film "L'Homme qui rétrécit) tourne vite au radicalisme destructeur. Les hommes sortent vainqueurs à chaque fin de film, mais l'on sait qu'un monstre nouveau reviendra. Les films de Honda se teintent souvent de pessimisme.

Filmographie

    * 1949 : A Story of a Co-op (documentaire)
    * 1950 : Ise Island (documentaire)
    * 1951 : The Blue Pearl (Aoi shinju)
    * 1952 : The Skin of the South (Nangoku no hada)
    * 1952 : The Man Who Came to Port (Minato e kita otoko)
    * 1953 : Adolescence Part 2 (Zoku shishunki)
    * 1953 : Eagle of the Pacific (Taiheiyo no washi)
    * 1954 : Farewell Rabaul (Saraba Rabauru)
    * 1954 : Godzilla (Gojira)
    * 1955 : Love Makeup (Koi-gesho)
    * 1955 : Cry-Baby (Oen-san)
    * 1955 : Beast Man Snow Man (Ju jin yuki otoko)
    * 1956 : Young Tree (Wakai ki)
    * 1956 : Night School (Yakan chugaku)
    * 1956 : People of Tokyo, Goodbye (Tokyo no hito sayonara)
    * 1956 : Rodan (Sora no daikaijû Radon)
    * 1957 : Half Human: The Story of the Abominable Snowman (co-réalisé avec Kenneth G. Crane)
    * 1957 : Prisonnière des Martiens (Chikyu Boeigun)
    * 1957 : Be Happy, These Two Lovers (Kono futari ni sachi are)
    * 1957 : A Teapicker's Song of Goodbye (Wakare no chatsumiuta)
    * 1957 : A Rainbow Plays in My Heart (Waga mune ni niji wa kiezu)
    * 1957 : A Farewell to the Woman Called My Sister (Wakare no chatsumiuta shimaihen: Onesan to yonda hito)
    * 1958 : Song for a Bride (Hanayome sanjuso)
    * 1958 : Beauty and the Liquidman(UK) aka H-Man(US) (Bijo to Ekitainingen)
    * 1958 : Baran, le monstre géant (Daikaiju Baran)
    * 1959 : Battle in Outer Space (Uchu daisenso)
    * 1959 : An Echo Calls You (Kodama wa yonde iru)
    * 1959 : Inao: Story of an Iron Arm (Tetsuwan toshu inao monogatari)
    * 1959 : Seniors, Juniors, Co-Workers (Uwayaku, shitayaku, godoyaku)
    * 1960 : The First Gas Human (Gasu ningen dai ichigo)
    * 1961 : Mothra (Mosura)
    * 1961 : The Scarlet Man (Shinko no otoko)
    * 1962 : Astronaut 1980 (Yosei Gorasu)
    * 1962 : King Kong contre Godzilla (Kingukongu tai Gojira) (co-réalisé avec Thomas Montgomery)
    * 1962 : Varan the Unbelievable (co-réalisé avec Jerry A. Baerwitz)
    * 1963 : Matango
    * 1963 : Ataragon (Kaitei Gunkan)
    * 1964 : Mothra contre Godzilla (Mosura tai Gojira)
    * 1964 : Dagora, the Space Monster (Uchu daikaiju Dogora)
    * 1964 : Ghidrah, le monstre à trois têtes (San daikaiju: Chikyu saidai no kessen)
    * 1965 : Frankenstein vs Baragon (Furankenshutain tai chitei kaijû Baragon)
    * 1965 : Invasion Planète X (Kaiju daisenso)
    * 1966 : Come Marry Me (Oyome ni Oide)
    * 1966 : La Guerre des monstres (Furankenshutain no kaiju: Sanda tai Gaira)
    * 1967 : La Revanche de King Kong (Kingukongu no gyakushu)
    * 1968 : Les Envahisseurs attaquent (Kaiju soshingeki)
    * 1969 : Latitude Zero (Ido zero daisakusen)
    * 1969 : All Monsters Attack (Gojira-Minira-Gabara: Oru kaiju daishingeki)
    * 1970 : Les Envahisseurs de l'espace (Gezora, Ganime, Kameba: Kessen! Nankai no daikaijû)
    * 1973 : Miraman
    * 1975 : Mechagodzilla contre-attaque (Mekagojira no gyakushu)
    * 1980 : Kagemusha, l'ombre du guerrier, de Akira Kurosawa (réalisateur de seconde équipe)
    * 1990 : Rêves (Yume) (co-réalisé avec Akira Kurosawa)
    * 1993 : Madadayo (film d'Akira Kurosawa dont il a réalisé quelques scènes sans être crédité)

Rêve mortel

Deadly Dreams

Kristine Peterson
 
1988



Résumé
Alex traumatisé par le meurtre de ses parents qui a eu lieu devant ses yeux alors qu'il n'avait que dix ans, rêve chaque nuit du retour du meurtrier à masque de loup.
Mais est ce bien un rêve?
Le coupable est il vraiment mort?







Fiche Technique
Réalisé par
Kristine Peterson

Scénaristes
Thom Babbes

Interprètes
    Mitchell Anderson    ...     Alex Torme
    Juliette Cummins    ...     Maggie Kallir
    Xander Berkeley    ...     Jack Torme
    Thom Babbes    ...     Danny
    Gray Ainsworth    ...     The Hunter
    Timothy Austin    ...     Young Alex Torme
    Brent DeHart    ...     Hotel Clerk
    Beach Dickerson    ...     Sportsman #2
    Troy Evans    ...     shérif
    Geoffrey Forward    ...     John Torme
    Al Guarino    ...     Barman
    Jaime Kaplan    ...     Boy with toy gun
    Michael Leopard    ...     Sportsman #1
    Gyl Roland    ...     Mrs. Torme
    Lynn Seibel    ...     Coroner
    Stacey Travis    ...     Librarian
    Duane Whitaker    ...     Norman Perkins

Produit par
Matt Leipzig
Victor Simpkins

Musique originale
Todd Boekelheide        

Image
Zoran Hochstätter        

Montage
Bernard Caputo        

Durée
79'

Origine
Usa,1988

Commentaires
Un peu trop long mais à voir pour se vider l'esprit

Download.
Laser Disk rip version Anglaise sans sous-titres


Have a Nice Weekend

Michael Walters
 
1975

Résumé
Une famille se réunie sur une île afin de fêter le retour de l'armée de leur fils.
Mais le nombre d'invités diminue rapidement à coup de couteau de boucher ou d'accessoires de jardinage.








Fiche Technique
Réalisé par
Michael Walters

Scénaristes
John Byrum
Marsha Sheiness
Michael Walters

Interprètes
    Michael B. Miller    ...     Paul (comme M.B. Miller)
    Peter Dompe    ...     Donald
    Valerie Shepherd    ...     Joan
    Nikki Counselman    ...     Laura
    Colette Bablon    ...     Ellen
    Patricia Joyce    ...     Muffy (comme Pat Joyce)

Musique originale
Charles Gross

Image
Robert Ipcar

Montage
Irwin Krechaf

Origine
Usa, 1975



Commentaires
Sans être un classique, il se laisse suivre si on n'est pas trop en demande de meurtres sanglants jusqu'à la révélation finale.

Curse of Bigfoot

Dave Flocker
1978
Résumé

Un groupe d'universitaire en archéologie découvre dans une grotte une momie vielle d'un siècle.L'ayant ramenée à la lumière du jour, elle se revient à la vie et se révèle être un monstre (un big-foot en fait) et elle (il) commence à terroriser la région (et les spectateurs qui ont eu le malheur de mettre cette cassette dans leur appareil tellement le film est mauvais.......).









Fiche Technique
Réalisé par
Dave Flocker (comme Don Fields)

Scénaristes
James T. Flocker (comme J.T. Fields)

Interprètes
    Bob Clymire    ...     Roger Mason
    Jan Swihart    ...     Sharon
    Bill Simonsen    ...     Dr. Bill Wyman
    Dennis Kottmeier       
    Ruth Ann Mannella    ...     Linda
    Ken Kloepfer    ...     Norman
    Mary Brownless       
    Phil Catalli    ...     Etudiant (non crédité)
    Jackey Neyman    ...     Etudiant (non crédité)
    Augie Tribach    ...     Mr. Whitmore (non crédité)

Produit par
Dave Flocker (comme Don Fields)

Durée
88'

Origine
USA, 1978

Commentaires
Il s'agit en fait de deux films montés bout à bout (vive le type qui a inventé le flashback) afin de remplir le quota de minutes réglementaires. Le second concerne une momie.

20.6.10

Kristine DeBell


Actrice américaine née le 10 décembre 1954 à Chatham dans l'état de New York aux États-Unis.

Après une carrière, en commencant dans des films érotiques et porno, elle aura ensuite une carrière assez…respectable. En effet, Kristine Debell, aura une carrière temporaire en dehors des films érotiques. Elle sera invitée sur des plateaux de TV et fera quelques fois des couvertures de magazines comme Playboy. On lui fera même une ovation dans une émission où elle était invitée, comme quoi... Aux Etats-Unis elle sera engagée en 1980 dans un film avec Jackie Chan, Battle Creek


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